Dans les boyaux du loup (Pour Federico)

Dès que Nanss'i est entré dans le temple de l'ordre du serpent tu lui fausse compagnie en dévalant rapidement la rue dans l'autre sens. Tu marches quelques minutes mais tu te rends bien compte que le plan de votre chambre était volontaiirement faux. Tu te diriges vers la direction indiqué par l'eslave mais la ville est gigantesque et il n'y a pas de panneaux indicateurs, ni de noms aux rues. Des soldats te regardent bizarrement mais ton air assuré les tient pour le moment à distance. Au bout d'un quart d'heure tu comprends que tu ne trouveras pas cette école. Il te faut soit rebrousser chemin soit trouver une autre solution.

J'arrête un garde au hasard dans la rue et sans me départir d'une certaine prestence (de mise pour un ambassadeur).

"Bonjour à vous, soldat ! Je suis membre de l'ambassande du Duc Hans, actuellement en résidence au palais ; vous devez être au courant.
Je me suis permis de m'échapper un peu car je suis à la recherche d'une personne"

et je lui glisse sur le ton de la confidence : "il s'agit d'une jeune esclave que l'on m'avait amenée pour la nuit dernière et j'avoue que cette dernière était, en plus d'être fort belle, fort habile en son art... Vous voyez ce que je veux dire. Et donc, j'aimerais bien la retrouver et m'occuper d'elle cette nuit. Seulement, je me suis perdu, pourtant notre guide m'avait indiqué où se trouvait l'école d'où elle venait, mais Londra est gigantesque...
(je lui décrit le symbole). Pourriez-vous me renseigner, s'il vous plaît ? Notre guide m'a dit qu'il s'agissait d'une écoile réputée. Je vous en serai très reconnaissant. (et avec un clin d'oeil) que voulez-vous, la chair est faible surtout quand elle est bonne..."

Le masque de chêvre que tu as interpellé met quelques secondes à comprendre ta question mais ta prestance l'incite à vite réagir. Il accroche un esclave d'une trentaine d'année qui essayait de nettoyer un peu les ordures de la ville. L'sclave, surement d'origine scandienne, est giflé violemment par le granbreton. L'esclave bredouille que ce tatouage est celui de l'école de dressage des servtieurs, mais qu'elle est à l'autre bout de la vile et qu'il faut bien une demi-journée pour y arriver.
"Et bien, fiente, qu'attends-tu pour accompagner ce noble ambassadeur, gueule le soldat". L'esclave se met à marcher et, après une demi seconde d'hésitation, tu le suis à travers le dédale de la ville.

Je te posterai la suite bientot

Durant près de 3 heures vous déambulez à travers la ville et les hautres tours. Des soldats vous regardent bizarrement et 2 escouades de chats t'accostent, mais ils te laissent passer après avoir appris ton statut d'ambassadeur. Vous finissez par arriver dans un quartier plus propre et moins coloré. Les tours et palais sont constitués de pierres noir et de cristal. Partout des fresques représentent des cranes ou des scènes de tortures ou d'esclavages. De grands hommes squelettiques au masque de crâne traversent les rues, menant souvent des cohortes d'esclaves. Tu comprends que les esclaves sont d'abord emmenés ici pour être conditionné par l'ordre du crane. Ton guide te montre une imposante batisses aux allures de grandes cages puis s'enfuie sans demander son reste. Devant la porte 2 soldats aux armures de cuirs noirs et armés de fouets barbelés montent la garde. Que fait-tu?

Je m'approche des 2 gardes d'une manière très sûre et nonchalante...

Je me présente comme il se doit et demande à rencontrer un responsable (leur ressortant le même baratin que pour le garde de l'ordre de la chèvre croisé auparavant.

L'un des deux gardes dégingandés te fait signe de le suivre.Vous longez une cour ou sont regroupé quelques dizaines d'esclaves entrainés au chant et à la danse sous la menace d'un fouet. Dans une cage suspendue à un grand arbre, un esclave squelettique gémit en demandant qu'on l'achève. Dans un coin de la cour, des crânes discutent avec un loup au sujet de la vente d'esclave. Vous vous engouffrez dans un couloir noir et le garde te fait arrêter devant un bureau. Il entre puis ressort"Le maître-squelette Dea'ss va vous recvoir, noble visiteur. Vous pourrez lui exposer votre demande".
Tu entres. Dans un grand bureau encombré de parchemins et d'archives, un grand homme vétu d'une robe noir t'atttends derrière un bureau. Son masque est en cristal de roche et ses yeux en diamant. Il te fait signe de t'assoir puis te dit: "Que me voulez vous-vous, noble ambassadeur. Désirez vous un rafraichissement? Du vin ou un thé peut-être?"

"Je vous remercie de votre accueil, Maître Dea'ss ; mais je ne veux pas abuser ni de votre patience, ni de votre temps, surtout pour une quête qui risque de paraître bien futile...

Comme vous le savez sûrement, je fais partie de l'ambassade du Duc Hans de Saxie. Et il se trouve que pour notre accueil, dans ma chambre la première nuit, se trouvait une douce créature que l'on m'avait envoyée. Je me suis renseigné auprès de notre guide qui n'était pas au courant de cette attention.
Cette jeune esclave était là la seconde nuit. Je n'ai pas réussi à lui faire dire le moindre mot, mais, j'ai remarqué le symbole qui m'a conduit en cette école et le bracelet où est inscrit son nom.

Pour faire bref, j'espérais retrouver la personne qui me l'avait envoyée en cadeau de bienvenue pour pouvoir la remercier comme il se doit.
Notre séjour est des plus agréable et des plus enrichissant, et je tiens à remercier toutes les personnes qui y ont participé..."

(Je lui donne la description et le nom de l'esclave, et attend sa réaction).

Le maître squelette Dea'ss est très intrigué par ta démarche. Nénmoins il te dit qu'il va consulter ses archives. il cherche un bon quart d'heure dans ses dossiers avant de trouver.
"J'ai bien une jeune fille nommée Sirgrid qui correspond à votre description. Jusqu'à l'année dernière elle était une noble scandienne. Elle a été confié à notre école dès son arrivée ici, et nous l'avons vendu voici 2 mois au barronet Grevez Mandenn. C'est peut-être lui, votre...bienfaiteur, à moins qu'il ne l'ai revendue depuis."
Il te griffonne sur un papier quelques indications sommaires pour te rendre chez le baronnet, puis te dit sèchement si tu as autre chose à lui demander.

"Non, Maître Dea'ss, je n'ai plus rien à vous demander. Et je m'empresse d'arrêter de vous importuner. Merci d'avoir bien voulu me consacrer quelques minutes de votre temps. Et puisse votre école rester toujours florissante."

Je lui fait une révérence, le chapeau à la main et m'en retourne dans la rue.

J'essaie de trouver un garde au-dehors, de préférence tout sauf un chat, et lui demande de me montrer le chemin pour me rendre à l'adresse en question.

Tu commences à te déplacer avec plus d'aisance dans les rues de Londra. Les renseignements que Dea'ss t'a donné et les indications donné par le masque de rat que tu as interrogé te permette de d'arrier en une heure au quartier noble. Mais de loin tu distingue une épaisse fumée qui ne laisse rien présager de bon. En t'approchant tu distingues que le petit palais du barronet Grevez Mandenn est en flamme. Une foule de badaud se presse pour regarder le sinistre mais un bataillon de chats bloque la rue, interdisant à quiconque le passage. Abrité discrètement sous un porche, tu regardes cette scène de loin. Que fais-tu?

tout en évitant les chats, j'essaie de glaner auprès des badauds des renseignements sur ce qu'il s'est passé ; si le baronnet est toujours en vie... etc, etc...

Comprends bien que tu es dans une rue pleine d'esclaves à demi nus et de soldats xénophobes en armure, et que un bataillon de chats surveille les environs. Avec ta tenue, collectez des renseignements sans te faire repérer constitue un défi presque impossible.
Si toutefois tu y tiens, fais un jet de baratin et un autre de discrétion avec des malus de 10%.

ok, je me pose tranquille dans un coin d'ombre, et j'attends que ça se calme un peu.
J'observe un petit peu la situation et si il me semble que je me trouve dans l'impossibilité de glaner quoi que ce soit, je me rends au temple du serpent.

Fais moi un jet en écouter

8 au dé + 3 ds écouter = 11...

J'avais proposé qu'on revienne aux pourcentages, rappelle toi

j'avais oublié, dsl.

je relance alors : 84 (raté)

Tu entends quelques conversations malgré tout. Il semblerait que le baronnet ait été arrêté par les chats et que l'incendie résulte de cette arrestation. Tu aimerais en svoir plus mais les chats se mettent à fouiller les environs. Tu t'enfuis alors sans demander ton reste.

Pour la suite ben...faut attendre que les 2 autres avancent un peu

Cher Admin, euh pardon, guerrier d'or et de jais...


Il me semble que nous avons quitté Sfen et Krystos dans un rad' de moins haute tenue que le précédent et que nous sommes partis avec ma petite renarde en direction de la caserne la plus proche pour trouver des chevaux et pouvoir revenir le plus rapidement possible au palais où nous logeons pour chercher un véhicule "sécurisé" avec escorte...

Rappelle-moi juste si nous sommes sur 1 seul cheval ou si nous en avons 1 chacun, stp.

Et je te préciserai tout en conséquence....

Vous avez juste décrété aller chercher une escorte au palais impérial si je me souviens bien. Après ça, si tu changes d'avis, c'est possible!

Et vous n'avez évidemment aucun cheval avec vous.

Donc, je ne change pas d'avis : on a enfin trouvé une bonne diversion, donc j'en profite....


Donc j'accompagne ma ravissante renarde jusqu'au palais pour chercher notre escorte ; je joue le parfait touriste et lui demande de m'expliquer au passage la fonction et l'historique de tel ou tel bâtiment...
Je la félicite aussi sur la manière dont elle s'est et nous a défendu... loue encore sa beauté et lui dit espérer avoir enfin à nouveau du temps pour reprendre la discussion entamée plus tôt dans le premier "bar"...

Au bout de 2 petites heures, vous finissez par arriver au palais impérial. Malgré l'heure tardive, ses environs grouillent d'esclaves, de chiens et de mantes. Tu remarquent notamment un groupe de chiens en train de tabasser ce qui semble être 2 chats. Nans'y, plutot essouflée et fatiguée de votre course nocturne, marche qques pas derrière toi. Que fais-tu?

Je m'approche du groupe de chiens en train de s'occuper des chats et essaie de voir ce qu'il se passe ou se dit...

J'en touche 2 mots à notre jolie guide : "Chère Nans'y, désolé de vous faire vivre tout ça mais je commence à en avoir plus qu'assez d'avoir vos amis les matous à nos basques.
J'aimerais bien qu'on leur fasse comprendre que nous sommes une ambassade et donc que nous avons certains droits ou du moins égards.... Je vais m'en embrocher un de ce pas... Tout gentilhomme que je sois, mon calme a des limites.

Et puis vous semblez épuisée. Je vous propose une petite pause ; il suffit d'envoyer un groupe de soldats pour récupérer mes compagnons. Il me semble que vous en avez bien assez fait aujourd'hui et il est de mon devoir de vous en remercier..."
Je lui lance mon sourire le plus éclatant et le plus équivoque aussi

Tu t'approches, ce qui se calme les chiens. Tu as le temps de voir les chiens rouaient à coup de pieds les chats. Caci dit, ils n'y sont pas allé trop méchamment. Les chats doivent avoir qques fractures mais n'ont pas pris de coup des épées à 2 mains des chiens. Les chiens leurs lancaient qques injures du type: "Prends ça pédé d'espion, on va t'apprendre à fureter chez nous!". Les chiens se parlent bien sur entre eux mais avec le langage de leur ordre. Si tu interroges les chiens ils te répondent qu'ils ont surpris ces 2 chats en train d'espionner aux fenêtres de vos appartement. Comme vos appartements sont sous la protection des chiens les chats n'avaient rien à y faire. Comme ils ont refusé d'expliquer leur présence les chiens les ont tabassé avant de les renvoyer dans leur caserne. Ca n'a pas l'air d'être la folle entente entre les chats et les chiens... Ceci dit, les chiens n'ont pas l'intention de te laisser approcher les chats. Si tu essayes, il t'en empeche en répliquant qu'un tel spectacle est indigne de ton rang d'ambassadeur.

Quant à Nanss'y, elle te répond, essouflée:
"Je vous remercie de votre bienveillance mais je dois veiller sur vous. Trouvons un officier chien afin d'avoir une escorte pour aller chercher vos 2 compagnons. Si vous préferez vous reposer, je vais vous accompagner jusqu'à votre chambre et m'en occuper seule."

"nous nous reposerons par la suite, alors. Je vous suis Nans'y, tel votre ombre..."