Face aux Granbretons

Pour simplifier, nous allons entre directement dans la partie en cours. Pour vos questions ou pour me dire ce que vous avez fait durant ces 3 mois, rendez vous dans vos parties privées. On gerera en parallèle


Désolé pour tes espoirs Sfen, mais le duc n’a aucune raison de vous exposer sa statégie pour défendre son duché. Il a des conseillers militaires pour ça. Maintenant, vous voyez bien d’un œil exterieur tout ce qu’il prépare.

Le duc est bien conscient qu’il n’a aucune chance de battre l’énorme armée granbretonne. Il compte bien mener une résistance farouche en espérant provoquer une réaction des autres princes germains et des chevaliers génétiques. Il met l’accent sur la marine en construisant de puissants galions et en fortifiant son port le plus possible. Il embauche le plus possible de mercenaires, quitte à endetter son duché sur 10 ans. Mais surtout, il envoie quantité de diplomates à tous les princes germains, pour leur expliquer la situation. C’est d’ailleurs à ce sujet qu’il vous convoque, 3 mois apres votre retour.

Il vous reçoit avec Vikior Mecher, et vous tiens ces termes : « Mes amis, si toutefois je peux vous considerer comme tels apres ce que nous avons vécu ensemble, j’auraisune mission à vous confier. Comme vous le savez j’ai envoyé differents messagers à travers l’empire germains pour essayer de rassembler mes alliés. Mes diplomates sont tous occupés et je manque d’hommes, c’est pourquoi vous allez voir un de mes vassaux, le comte d’Hannoker. Bien qu’il soit censé me rendre hommage, il n’a jamais supporté mes rapports avec les chevaliers génétiques. Toutefois, étant donné les circonstances actuelles j’espère qu’il m’aidera. Il n’a pas répondu à mes differents messages. Je souhaiterais que vous alliez rendiez pour lui remettre mes ordres, à savoir qu’il m’envoie rapidement 500 chevaliers et leurs hommes d’armes, équipés pour tenir 6 mois. Essayez de connaître ses véritables intentions et ne vous contentez pas de vagues promesses. Et s’il vous faut maniez l’épée, n’hésitez pas à défendre vos vies, au moins serais-je fixé sur sa volonté. »

Il se tourne vers Sfen : « « Depuis le temps que tu me sers, je te considère comme Germains, aussi te présenteras-tu à Hannoker comme mon diplomate »

Que lui répondez-vous ? Si vous avez des questions, posez lui d’un bloc (de toute façon vous sentez bien que le Duc est pressé est qu’il ne peux pas se permettre de passer trop de temps avec vous)

"Duc ! Si ce comte d'Hannoker est votre vassal, il vous doit donc respect et obéissance. Le fait qu'il ne vous réponde pas nous laisse entrevoir deux possibilités !
Soit il est de mèche avec ces chiens de Granbretons, soit il lui est arrivé quelque chose : chantage ou je ne sais quoi d'autre...
Si Sfen doit être le diplomate, j'accepte de prendre la charge d'investigateur. Quand devons-nous partir ? Quels sont les moyens mis à notre disposition ? Je m'entends : partons-nous seuls ou un peu accompagnés comme une ambassade ? En cas de refus, devous-nous véritablement usés de tous les moyens nécessaires ? Cela amènerait la guerre au sein de notre propre Empire.."

Je laisse planer ces derniers mots un moment.

"A votre service, Duc, comme toujours".

Je m'incline et me rassieds.

Messire Duc ! Vous êtes plus qu'un ami à mes yeux ! Vous m'avez receuilli et fait confiance avec la grandeur et la mansuetude d'un patriarche des temps anciens . Votre verbe est notre ordre...
Je suis très honoré de cette responsabilité dont vous m'honorer , et je ferai tout mon possible pour me montrer le plus ...germain... possible. Même si mon accent me trahit parfois.Et si par notre mort vous pouvez être fixé sur les intentions de ce comté, hé bien qu'il en soit ainsi.

Bien sûr nous défendrons noter vie soyez en sûr

Je me tourne vers Federico, en fronçant très légèrement les sourcils...de façon à ce que seul lui le voit " Nous discuterons des détails de la mission plus tard, Mon ami, le Duc à encore moult choses plus importantes à faire...Mais il est évident que nous ne tirerons les épées QUE POUR NOUS DEFENDRE et non en cas de réponse négative du comte, il y a une certaine nuance...Nous laisserons évidemment le duc seul tirer les conclusions d'un refus..."
Je me tourne vers le Duc et Mechier " qui plus est, nous connaissons tous la subtilité de tes missions passées...Eliminer un élément gênant permet parfois d'éviter une guerre. "

à mon tour je m'incline sans trop de cérémonie ( sachant que Hans n'est pas trop féru d'étiquette) et me rassieds à mon tour

Lorsque le duc et Vikior tournent leur regards vers moi, je m'avance d'un pas, réajuste ma tunique de cuir, me racle la gorge et m'adresse a eux avec un mélange de respect et de gêne : "Duc Hans, je suis a votre service. Outre le fait que vous me payez pour ça, vous êtes devenus le symbole de la résistance face a ces chiens démoniaque de Granbretons. Et rien que pour ça, je mettrai mon épée au service de vos diplomates contre l'invasion Granbretonne, même si cela doit nous mener en enfer...et puis après tout ce que nous avons vécu chez ces fous... Bref, vous pouvez compter sur moi pour accompagner ce vieux loup des mers Scandien et notre ami espanyol..."
je me retourne alors vers mes deux compagnons, les toisant de mon œil blanc vitreux avec un rictus qui en dit long sur mon manque d'action...

Je lève un sourcil songeur et interrogateur vers le Scandien.

"Mon très cher Sfen, il me semble n'avoir seulement posé que des questions de logistique, à savoir véritable ambassade ou seulement nous trois.
Ensuite, je me propose en investigateur et non autre chose. Et je ne faisais que remarquer qu'une action directe, même si nécessaire au cas où, engendrerait forcément des troubles au sein du comté voire du pays entier.

Il ne me semble n'avoir rien évoqué d'autre. Ne me fais pas dire ce que je n'ai même pas sous-entendu à moins..... (petit sourire narquois) que tu ne deviennes un véritable ambassadeur et homme de cour en prêtant aux autres des intentions qu'ils n'ont pas".


"Trêve de plaisanteries ! Quand voulez-vous que nous partions, Duc ?"

tu n'as pas compris ou tu t'es mal exprimé, l'espanyol...Mais nous en parlerons en privé, on ne va pas déranger le duc pour si peu...Partons discuter des détails en privé dès que le Duc nous le permettra

Le Duc prend ensuite la parole (d’abord en souriant, puis plus sérieusement) :" je savais bien que je pouvais compter sur vous.
Je ne peux malheureusement pas vous confier d’autres hommes, c’est justement pour cela que je fais appel à vous. Je puis tout juste vous confier un seul cheval et de quoi couvrir vos frais. C’est pour cela que je préfère nommer Sfen comme émissaire, car lui seul est en mesure de passer pour un germain.
Votre mission est d’obtenir une reponse définitive de Hannoker. S’il refuse, tacher de connaître ses raisons. S’il accepte, tachez d’avoir des garanties de sa part. A aucun moment je ne souhaite déclencher une guerre actuellement, mais s’il me trahit, soyez assuré que je m’occuperais de son compte plus tard. Mais je dois vous prevenir que le comte est un homme qui a la réputation d’etre…brutal, c’est pourquoi je ne vous interdit pas de vous défendre si vos vies sont en danger."

Le duc Hans clot ainsi la discussion

Resumons…vos moyens sont tres réduits. Vous disposez d’un vieux cheval plus tres jeune et du percheron de Sfen. Je considere que Krystos et Federico monte sur le cheval du Duc, Sfen monte sur le sien et peut prendre de l’équipement supplémentaire. Vous n’allez guere plus vite qu’à pied…

Vous avez donc votre equipement standard, des sous vetements de rechange, 200 souverains pour vos frais, un ordre de mission et une lettre pour Hannoker, cachetées par le Duc. Le voyage vers le centre de la Germanie vous prendra une dizaine de jour.

Vous devez partir dès le lendemain matin.

Que faites vous d'ici votre départ?

Un cheval, c'est vraiment maigre! Le cheval est-il une denrée rare dans le monde du tragique millénaire (c'est une question d'Olive)? Si ce n'est pas le cas, Krystos essaie d'avoir une petite discussion avec Sfen et Le Scorpion avant le départ pour leur faire part de ma surprise devant aussi peu de moyens mis à notre disposition, qui nous font passer pour une délégation de bas étage, équipée de bric et de broc et demande si une petite entrevue avec le Duc ou à défaut Vikior ne serait pas judicieuse pour leur demander un deuxième cheval. Mes arguments sont les suivants:
- nous aurions chacun un canasson, ce qui nous permettrait d'arriver plus vite
- nous aurions quand même un peu plus de "gueule" pour une ambassade.

Si Sfen et le Scorpion sont contre cette demande d'entrevue, je laisse tomber. En revanche, je ferais le voyage à pied. Etant donné mon poids (et celui non négligeable du Scorpion), un seul cheval aura bien du mal à nous porter tous les deux pendant 3 jours. Et puis Krystos à l'habitude d'arpenter les routes à pieds...

Quelle est la saison et le temps actuelle? Je prends bien évidemment des affaires chaudes (style une grosse cape doublée en laine avec col en fourrure si grand froid) en plus de mon matos. Mis à part ça, Krystos est remonté à bloc et attend le jour du départ avec impatience...

Les chevaux coutent évidemment une fortune. L'animal de trait classique est le boeuf ou l'âne. Les chevaux sont donc une denrée rare comme dans notre propre moyen âge. Chaque chevalier possède son propre cheval, financé par ses terres. Le duc ne possédant pas d'armée régulière, il ne possède guère de chevaux, qu'il a déjà prêté a des ambassades plus prestigieuses.

Maintenant, si vous insistez auprès de Vikior, que l'un de vous tente un jet de charisme. Au fait avez vous tous équitation a moins a 30%? Ca vous sera nécessaire pour chevaucher sans ralentir les autres.

Sinon vous etes au debut du printemps. Les rivieres dégelent et provoquent de petites crues. Les nuits sont encore très fraiches et de la neige tombe encore parfois, mais les grandfs froids sont passées.

j'essaye en effet de toucher 2 mots à Vikior le guerrier ( 9 au d100 sur un jet de charisme, donc ok à pripiri à moins bien sur qu'il y ai des malus de circonstance) en relayant l'argument de Krystos sur la fait qu'il faille un peu en imposer , surtout avec une mission pas gagnée d'avance...De plus , étant donné Que Vikior est guerrier comme Krystos, j'insiste sue l'aspect impressionnant du bonhomme qui serait renforcé par un cheval, et d'autre part, un bon gaillard comme lui vaudraot le coup d'être sauvé d'un traquenard ( " il en vaut 5 au combat, je l'ai vu faire face aux maudits chats granbrettons!")

je suis moi même un bon cavalier et je suis de plus très dextre malgré ma grande taille...Je connais bien mon percheron Fäfnir et il porte ma grande carcasse et tout mon paquot ( incluant, je le rappelle , une jolie tenue d'apparat depuis que j'arpente les terres de Saxies ...Quant au frimat du printemps teuton, il ne peut géner un géant du froid tel que moi...

Je n'ai que le temps de causer à Vikior et à faire l'autre chose dont j'ai causé dans mon forum perso...

Autant pour moi, vous avez tous au moins 35% en équitation d’office. Donc pas de soucis pour chevaucher gaiement ! Vikior vous prete un cheval encore vigoureux et vous jure de vous pourfendre si vous le blessez : il vient de ses propres écuries !

Federico semble être occupé ailleurs…je me permet de continuer, il pourra toujours me signaler s’il comptait faire autre chose avant son départ.

5 ème jour du 4ème mois

Le lendemain, vous partez sur vos fringuants chevaux en ce début de printemps. Il fait encore bien frois et il arrive qu’un peu de neige tombe encore. Les routes boueuses n’on rien à voir avec celle que Federico a pu connaître en Espanya. Le principal interet de vos chevaux est d’éviter de salir vos bas de chausses. Malgré tout vous croisez moults voyageurs, paysans, marchands soldats…la venue d’Adaz Promp a déjà été oublié. Quant aux rumeurs d’invasions, elles n’effraient que les jeunes enfants. Le dernier razid des scandiens date de 5 ans, et la derniere guerre germanique d’à peine 8 ans…

Vikir a indiqué à Sfen la route à suivre. Etant donné le score de Sfen en orientation, vous ne risquez pas de vous perdre. Une halte dans une auberge est prévu chaque soir. Comme vous avez le blason du Duc sur vos chevaux or de questions de profitez de ses pauses pour faire des beuveries ou voir les filles de joie, vous êtes prévenus. Vous représentez le duc que diable ! Les 5 premiers jours se déroulent sans accrocs.

Le soir du 6ème jour vous vous arrêtez à un poste relais : vous arrivez sur les terres du comte Hannoker ! Il s’agit d’une batsse de bois surplombant une rivère germaine, la Weisser. Y est accolée une auberge entourée de nombreux marchands, paysans, voyageurs de passage… Les péagers, des rustres sachant à peine lire et écrire, examinent d’un œil soupçonneux, le cachet du duc. Vous glissez quelques souverains pour les bonnes œuvres des péagers et ces derniers décident spontanément de ne pas vous embeter outre mesure. Vous vous dirigez alors vers l’auberge du taureau bâtipour y prendre une bonne nuit de sommeil et u repas consistant. Vous vous asseyez autour d’un jambon fumant aux airelles et trinquez une choppe à la gloire du Duc. C’est alors que Federico remarque un homme au comprtement inhabituel. Il s’agit d’un moine du sincère repentir (déjà sa présence ici en dit long sur sa piété), mais qui semble vous regarder avec insistance tout en discutant avec l’aubergiste. Federico se souvient aussi avoir vu ce moine au poste relais, en même temps que vous. Soudain l’homme jette quelques pieces à l’aubergiste et file comme une flêche. Je suppose que vous le suivez !

Dehors vous le voyez mettre le pied à un cheval accroché à l'écurie de l’auberge. L’homme ne vous a pas encore vu, mais ça ne saurait tarder. Que faites-vous ?

" Que loki soit loué !
Il a un cheval le cureton ?
étrange
Krystos, empêche le de partir...Sans trop l'ammocher"

Je regarde s'il n'y a pas trop de monde qui nous regarde depuis l'auberge

Heureusement il fait frisquet et personne s'aventure trop hors de l'auberge. La nuit, pas grand monde circule sur les routes. En revanche, un jeune garçon d'écurie, à un adolescent, se tient juste devant l'écurie, à quelques mètres du moine

Si l'homme n'est pas trop loin, j'essaie de l'intercepter avant qu'il ne détale avec son cheval. Ma tactique est simple: le choper par ses vétements (so robe de burre j'imagine), le tirer en arrière ou sur le côté afin de la désarçonner et le coller à terre, en mettant un genou sur sa poitrine afin de l'immobiliser. Je garde bien évidemment un oeil sur ses mains, au cas où il chercherait une dague ou autre dans ses vêtements. Si je suis trop loin pour le chopper avant qu'il ne détalle, je fonce vers l'écurie pour y prendre l'un de nos chevaux tout en appelant le Scorpion.

(de retour après des semaines dingues et 2 jours au lit car bien malade...)


Je laisse Krystos s'avancer vers le moine et prépare dans ma main une pincée de "jette-au-lit" tout en m'approchant moi-même de l'écurie mais de manière discrète.
13 au jet de dés pour 50 en "se cacher"
85 au jet pour 70 en "déplacement silencieux"

Bon c'est parti:
-federico tu saisis bien ton jette-au-lit mais il te faudra du temps pour essayer s'approcher discrètement
-Krystos tu t'approches rapidement du moine qui n'est qu'à quelques mètres et tu l'empoignes par sa toge en essayant de le projeter. Mais il était sur ses gardes et sort une dague et contre attaque (cf règles de lutte). Il réussit sa contre attaque avec 6 points de marge. Fait ton jet de lutte: pour le battre je te demande une réussite critique (1/5 de ta compétence) ou du moins un jet avec une meilleure marge. Là, deux options:
-tu rates. Il réussit a te faire lâcher prise. Tu peux esquiver le coup (avec la compétence esquive) sinon il transperce violemment ton abdomen: tu perds 7 pv, moins ton armure. Dans les deux cas, un nouveau round commence: indiquez moi vos actions
- tu réussis: tu as fermement empoigné le moine et l'a empêché de te frapper en le jettant au sol. Tu essayes alors de le maitriser mais le gredin se défend vigoureusement. Il a 12 en force, tu as 16, d'après le tableau de résistance tu dois obtenir 70 ou moins sur un dé 100. Si tu reussis, tu le tiens fermement au sol autant que tu veux. Indiquez moi ce que vous faites, et n'oubliez le jeune garçon d'ecurie qui reste médusé. Si tu rates, il réussit a te renverser: vous vous relevez chacun d'un bond, il a gardé sa dague. Un nouveau round commence, indiquez moi vos actions.

je suppose que je ne tiens compte que du début de la description, à savoir qu'il esquive et contre attaque

je dégaine mon sabre d'abordage et courageusement, je lui fonce dans le dos pour lui pointer ma longue lame entre les omoplates...Bien sûr, s'il m'attaque je stoppe ma manoeuvre et me met en garde, mais en ce cas il ne se défendrai + contre le colosse

( bien inoffensif visiblement, dire que j'ai eu un cheval pour lui avec la promesse qu'il valait 10 germains et qu'il est incapable de maîtriser un moinillon)

Un peu moins d'empressement sémillant Sfen! Ce tour la vous avez déjà agi (tu as dit à Krystos de le choper). Mais j'ai bien noté que tu dégainais et essayer de le frapper au prochain tour.

Le moine n'esquive pas, il contre attaque avec sa dague (ce sont les règles de lutte, un peu compliqué à expliquer ici). Je précise que le moine vous avez a l'oeil et s'attendait a éventuellement vous voir sortir, ce qui explique qu'il avpu rapidement réagir.

je capte pas GOJ ( guerrier d'or et de jais), tu nous dis qu'un nouveau round commence...

Oui, une fois que Krystos aura fait ses jets pour chopper le moine.

c'est peut etre un peu compliqué, je ferais plussimple la prochaine fois

ça roule vieux GOJ
j'en profites pour te dire que je me tappes la série hawkmoon...J'ai failli lâché car le t2 est pas terrible mais le 3 " l'épée de l'aurore" me réconcilie avec le bouquin...

cher GOJ, je comprends pas trop le système de jeu que tu utilises: système normal ou système adapté pourpartie en ligne (avec calcul de PO et PA)? A quoi correspond la marge de 6 que tu mentionnes? gué??

Sinon, je fais 77 à mon jet de lutte...Je suppose donc que je rates...Quand à monjet d'esquive...88! ça race!!!je suppose que je prends les 7 points de dommages dans ma cefa de brutasse. Mon armure de cuir amorti les dégâts de 3points (j'en prends donc 4 dans le fion). Sale moine de fils de bâtards bouffeur de fiente de sanglier !séché!!!! Jef ais en faire un étui pour mon cimeterre!!!!

Bon disons que j'ai expérimenté un truc foireux....mea culpa...

Le metal froid s'enfonce dans ton poitrail, tu en garderas une petite cicatrice. Au tour de toi, Federico et Sfen s'approche. Le moine regarde rapidement autour de lui. Il vous menace tour à tour avec son arme et parle:
"Allons Messires nous sommes partis sur de mauvaises bases... Je vous crache tout ce que je sais et vous me laissais partir, d'accord?"

Soyons réalistes, vous êtes 3, le moine est seul et n'a qu'une dague. Si vous voulez le capturez vous réusissez sans problèmes, je vous fait grace des jets. En revanche votre refus a du être entendu de l'auberge.

Je porte la main à ma blessure, regarde le sang s'écoulait un peu de mon plastron de cuir puis relève lentement la tête vers le moine, le regard noir (et blanc vitreux pour l'autre oeil), les naseaux écumant de la vapeur par cette nuit froide. Je lui décoche alors un putain de coup de poing dans le ventre: je fais 33% à mon jet de bagarre.Je te donne les dégâts si ça passe:8 (je suppose que c'est 1D3 + bonus de dommage?...)

Le moine n'as même pas le temps de comprendre ce que tu lui as fait : il se plie de douleur et s'évanouit direct. Tu lui as donné un coup capable d'étourdir un sanglier! Il crache le sang, t'as du lui exploser un truc, mais il vit encore.