Aventure en Germanie

Je pose juste quelques vêtements sur le lit que je me suis attribué et m'empresse de mettre dans le coffre 2, 3 choses. Vous n'arrivez pas à voir ce que c'est, mais vous avez pu distinguer un petit tintement de verre et apercevoir dans ma main des petits sachets en cuir fermés par des petites cordelettes.
Je referme le coffre à double-tour et attache le jeu de clé de celui-ci autour de mon coup à l'aide d'une petite chaîne en argent.

Je me laisse alors guider par Sfen en espérant rencontrer le Duc très rapidement.

"Il est vrai, mon cher Krystos, qu'un bon repas et unebonne bière seraient les bienvenus ! Sfen, que nous proposes-tu, toi qui connais bien les lieux ?"

" voilà qui est parlé, messieurs les mercenaires!

nous allons passé par l'aile Sud de la place forte, afin d'éviter l'émeute des poissonnières du Marché de Volgdsturm...Avec un minois comme le tiens Federico et des muscles comme les tiens, Krystos, ces furies ne nous laisserons pas sortir vivants! En plus, les rondes des batards de génétiques sont plus intensives du côté du marché.

Ces fils de chiens s'enrogueuillissent d'attraper et de crucifier des voleurs de poules, et je vous parie ma première dent en or qu'ils vont commencer à vous épiez !

nous sortons de la place forte

" je vous propose d'aller nous remplir la panse dans un endroit où 3 étrangers comme nous ne serons pas mal vu...A gauche là- bas vous pouvez appercevoir l'entrée des chantiers Navals de Neudstat, c'est donc dans cet endroit que j'officie...Vous pourrez m'y retrouver souvent si besoin.

Voyez , au loin à l'est, les couleurs du 3 fois maudit krak des chevaliers...Au passage vous apprécierez la volonté du Duc de se forger une force indépendante ( nous entre autre) et de ce fait vous évaluerez en quelle estime que ces pourceaux peuvent nous avoir!

Ici, une vue superbe sur la place totenkoff, il y a de très belles exécutions en début de semaine...

Ah , enfin, les docks ! Sentez ses effluves de Dorade grillée ! Humez cette odeur de tabac tiède et de bière fraîchement tirée
...à suivre...

On arrive donc devant le vieux port...qui tient l'auberge "La grenouille francienne"..." Ici vous trouverez toutes sortes de plaisirs , de la plus novice à la plus expérimentée ( dont Camilla la baleine des mers du Nord), toutes garanties par la maison sans mutations , sauf si c'est ça qui vous intéresse, bien sûr ( il y aura un supplément...)"

On continue à longer les docks , le long du nouveau port de Neudstat...On aperçoit dans ce quartier des gens de toutes conditions sociales et venant apparemment de tout le vieux monde " Si vous souhaitez trouver n'importequoi qui vous rappelle vos pays d'origine, n'hésitez pas à aller dans ces tunnels là-bas à droite, ils débouchent sur un immense marché interne, où la garde ne met pas souvent les pieds, si vous voyez ce que je veux dire...C'est assez divertissant, et on trouve toutes sortes d'armes ( non technologiques bien sûr)

Moi j'aime mieux me ballader dans le quartier Schnitzers," je vous montre une grande rue animée " celui des forges et des ébéniste...J'y prend et donne des leçons. On trouve ici les meilleurs artisants de la ville à mon avis"

Je m'arrête devant une auberge " LE RAGNAROK" qui semble assez vétuste mais richement décorée " là nous trouverons ce que nous voulons...Outre une très bonne bière distillée façon "Ancien Monde", on peut rencontrer toutes sortes de voyageurs et entendre des nouvelles de part le monde connu...Bon là il est tôt vous n'aurez pas grand monde. Allez entrez, la première tournée de bière de Russie et de lamproie mutante grillée est pour moi...Ah, oui, une dernière chose, faîtes gaffe à vos souverains! E jetez un oeil aux boiseries, c'est mon oeuvre!"
Je rentre et m'attable, je passe commande puis je m'en vais saluer quelques marins, e des costauds scandiens avant de revenir trinquer
L'auberge est spacieuse et plutot vide pour le moment, de nombreux cors décorent les murs, des boiseries finement ouvragées, des armes sur les murs, des crânes évidés...Tout ça fait assez viking mais quand même de bon gout.

" A la votre camarade de chambrée!"

Arrivé dans la chambre, je pose sur le lit mon sac de voyage qui, mis à part 2/3 sous-vêtements de rechange, semble bien vide...Je m'approche de la fenêtre et regarde l'aile droite du château, la cour en contrebas, puis le reste de la ville qui s'étend au loin...J'en profite pour mémoriser l'agencement de la pièce par rapport au reste du château (accessibilité, hauteur...).
Je resoupèse la bourse de ma solde d'acompte..."et bien, il semblerait que les affaires reprennent...".

Je suis alors les pas de Federico et Sfen. J'ai remis mon poncho de laine gris qui me recouvre le corps, mon cimeterre à deux mains toujours dans mon dos.

Quel est le temps au fait? chaud, froid, nous sommes en quelle saison?

Je me laisse guider par Sfen, prenant note de ce qu'il raconte. Aprés tout, je suis arrivé en ville il y a 2 jours et connais peu ses rues sinueuses et ce que cachent ses quartiers.

Je parle peu durant le trajet. Arrivé devant le "Ragnarok", je regarde quelques instants le bâtiment de l'extérieur, puis éclate d'un grand rire (je ris trés fort...). "C'est l'endroit idéal pour fêter notre embauche! je ne te connais pas encore Sfen Sygmarson, mais je sens en toi un homme au fait des plaisirs de la vie!Je te suis!"

Une fois autour de la table (j'ai posé mon cimeterre dans son fourreau à côté de moi et j'ai enlevé mon poncho de laine), je regarde l'espagnyol. "Federico, tu as la prestance de ceux élevé chez les noblions, mais tu te bats comme un vrai guerrier. Je devine que tu as également d'autres compétences, celles-là même que le Duc recherche...Je ne suis pas quelqu'un de trés futé, mais il est clair que le Duc veut t'utiliser à des fin précises. Je n'ai pas l'habitude de poser des questions, tant que la paye est bonne...Mais je dois dire que ce qui se passe en moment ici à Neudstatt attise ma curiosité..."

Je déambule dans les rues en compagnie de mes nouveaux compagnons de chambrée.
Je porte un pourpoint léger de cuir, un pantalon, de grandes bottes (avec, pour les yeux avertis, le manche d'un poignard qui dépasse de la droite) et une nouvelle cape (bleu nuit celle-ci), la rapière toujours au côté.

Je me laisse guidée par Sfen, hume l'air et me laisse bercer doucement par les paroles du Scandien (je connais déjà un peu la ville, étant arrivé depuis quleques temps déjà, mais je prends bonne note de tout ce que je ne connaissais pas).

Dans l'auberge, je me pose, commande un pichet de bière, m'imprégne de l'ambiance du lieu puis regarde Krystos droit dans les yeux au moment où il me parle :

"Permets-moi de te reprendre sur un terme, je n'ai pas été élevé chez un noblion, comme tu dis ; mais bien par un véritable noble et je ne laisserai personne souiller le nom ou le souvenir de mon grand-père. Je sais que tu n'étais pas au courant mais maintenant, c'est chose faite. S'il ne devait rester qu'un seul véritable noble, au sens du terme, en Espanyia, ce serait bien lui ; malheureusement, cela fait maintenant 11 ans qu'il est mort. Paix à son âme.

Les noblions sont ceux que j'exècre le plus, après l'Eglise du Sincère Repentir mais tout cela est une loingue histoire. Je pense que nous aurons tout le temps de parler chacun de nous lors de nos futures nuitées communes.

Pour répondre à ta question, oui, le Duc m'a engagé pour un certain travail. Je devrai former un corps très particulier de soldats : ils devront être rapides, précis, pourront naviguer dans n'importe quelle sphère de la société... Une espèce de garde spéciale.
Nous pourrons en parler plus amplement, mais en privé.

Il semblerait que le Duc se méfie de la montée en puissance de certaines nations ainsi que de celle des chevaliers génétiques. Il prend donc les dispositions nécessaires à la consolidation de ses positions....

Et si nous trinquions maintenant ! L'heure n'est pas encore aux discussions sérieuses".


Je nous sers tous les 3 en bière et lève mon verre : "Au Duc ! à l'avenir ! et n'oublions pas, aux femmes".

Le ragnarok est une auberge tenu par des Scandiens qui sont implantés depuis plusieurs générations. C'est devenu le repaire de nombreux Scandiens exilés lors de la guerre. Hélas, les propriétaires craignent que les chevaliers génétiques décident un jour de lancer un pogrom contre tous ces "étrangers". Heureusement, le Duc Hans limite leurs exactions. Les boiseries, qui représententt des créatures mythiques et de puissants drakkars, rappellent à Sfen la nostalgie de son pays envahie.

Nous sommes au 1er jour de l'été, et le climat est doux dans ctte région glaciale. Vous savez qu'il faudra vous vétir pour affronter l'automne puis l'hiver. A part pour Sfen bien sur, habituer à domir sur un navire couvert de neige.

La charmante serveuse Ogia, aux nattes blondes comme les blés, fille du patron Negmar, vous apporte un plat de lamproie et deux poulets rotis, accompagné de fèves et de navets avec une sauce au miel, ainsi que moults pichets de bières de Moscovie et d'eau fraiche (c'est le jour de votre embauche pour vous deux alors ne me faites pas croire que vous regardez à la dépense ). Vous passez une charmante soirée à boire, manger ces mets délicieux, plaisanter avec Ogia et fumer un peu de tabac offert par Negmar. Evidemment, vous souriez un peu moins quand vient l'addition: 30 souverains (en tout, soit 10 chacun). Vous vous regardez et vous vous dites que vous irez souvent manger au mess...ou commander un repas plus simple.
Après le repas, vous allez décuver sur le port, en allant prendre l'air agréable du port. Si vous le désirez, Sfen vous emmène à la grenouille francienne, ou vous pouvez voir de splendides prostitués dont la grasse Camilla, qui appelle Sfen "son ptit biscuit sucré". Les tarifs sont de 5 souverains pour la nuit, mais Sfen peut vous faire avoir un rabais de moitié...

Toujours est-il que vous vous retrouvez le lndemain dans vos lit, un peu fatigué mais heureux, finalement, de votre sort.
Le lendemain, Vikior Mecher vous annoncent que vous êtes attendus chez le Duc! Frederico doit d'abord y aller, suivi par Krystos! Quant à Sfen, il doit retourner travailler sur le port...

frederico et Krystos, pour votre entretien avec le duc, allez dans votre parti privé.

Durant ce mois, je partage mes journée entre l'entrainement matinal des mercenaires (musculation, sac de frappe, base du combat à mains nues, rudiment de lutte...), l'entrainement en solitaire (ou avec L'espagnyol ou Sfen s'ils acceptent...Quel est le niveau de Sfen?) et la découverte de la Ville.

Je demande notamment conseil à Sfen pour me trouver un bon armurier et si c'est la cas, je donne à réparer mon cimeterre (dis -moi le prix). j'essaie également de deviner si Sfen s'y connaît en mécanique et en science...

Je passe quelques une de mes soirée dans les tavernes avec Sfen et Federico (sauf s'ils préfèrent rester à la forteresse, dans ce cas je me biture tout seul), à boire des bières et à faire connaissance. Je fais également des concours de bras de fer dans des tavernes du porc, essayant d'arrondir mes fins de mois.

Voila pour le topo général. Croisent-on des granbretons (à moins que la germanie et la Granbretanne soit déjà en guerre)

Il t'en coutera 100 souverains (80 si tu réussi un jet de marchander diff 10).

Fais moi un jet de force pour tes combats de bras de fer. Si tu fais 15 ou plus, rajoute toi 10 souverains. Sur un 1, enleves toi 5.

Tu ne croises aucun granbretons en ville.

NB: g créait un systeme pour vos dépenses courants, vous allez voir.

en dehors de mon temps au chantier, j'accepte volontier de passer du temps avec Krystos
ok pour la tournée des tavernes
je suis effectivement pas trio mauvais en forge
pour une simple réparation, le rpix sera...de pouvoir voir en détail et même essayer ton "curieux objet" et de savoir tout de cet objet
il semble que je m'y connaisse en mécanique

Ok pour Sfen, meme si ton travail te prend bocou de temps

4 au jet de marchandage...raté! (ça fait 6...).


Pa contre je fais 9 au jet de force. Ce qui me donne un total de 17 (9 + .

100 de solde + 80 de souverain - 100 souverains de réparation = 80 souverains

Aretrancher: mes dépenses courantes!

Pour ce qui est de mon travail, vous ne me voyez jamais.

Je pars souvent très tôt en direction du palais mais vous rejoins volontier le soir.

Quand je ne pars pas le matin, je vais m'entraîner avec Krystos ou me ballade en ville. Dans ces cas'là, il n'est pas rare que vous m'entendiez, si vous ne dormiez pas encore, sortir de la chambre pour rentrer de fort bonne heure avant le lever du soleil.

je passe plus de temps à la cour et dans les tavernes pour capter lesrumeurs ( ex menace sur la région, état de la guerre ...)
sinon touours mon boulot de charpente la journée et des entraînements avec mes nouveaux camarades s'ils le veulent

Même emploi du temps et je fais réparer mes dagues...Il me reste 76 souverains à la fin du 3ième mois...

je continue mon travail de collecte d'info sur l'état de la guerre, sur les projets du Duc...Je sympathise avec ces 2 bougnou...ces sympathiques gars du sud!

Depuis 2 semaines, le Duc et Vikior sont préoccupés par une lettre qu'ils ont recu, mais refusent d'en parler. Ils disent juste à Federico qu'ils vont surement avoir besoin de ses services...

Et le 1er jour de l'autome une imposant cortège entre dans la ville. Il se compose de 10 carosses aux ornementations démentes tirés par de gigantesques chevaux noirs. Peu avant des héraults ont annoncé la visite de l'ambassade itinérante du baron Adaz Promp, Grand connétable de l'ordre du chien et représentant de la Granbretanne!

Le Duc fait réunir toute sa cour (vous compris) et ses chevaliers (génétiques inclus) dans sa cour, pour le recevoir comme il se doit.

OK. Je me rends à la cour ce matin-là. J'ai profité de ces 3 mois pour faire également remettre à neuf mon plastron de cuir noir et mes bottes noires qui reluisent désomais. J'ai mon cimeterre dans le dos et ne porte pas ma grande cape.

Je cherche à rejoindre Fédérico et Sfen mais reste attentif à tout ce qui se passe...J'essaie de ne pas être trop loin pour voir Adaz Promp.

donc je suis moi aussi à la cour ( j'ai glané des infos depuis 2 mois!)et je reste caché derrière krystos

Je me suis mis sur mon 31 mais armé comme il se doit.

Je suis arrivé avec mes 4 élèves, bien avant le début de la cérémonie.

Je repère Sfen et Krystos dans l'assemblée.

Ou suis-je placé par rapport au Duc, Vichior, Walkyria et mes 2 amis ?

Promp est un gros homme richement vêtu et au visage dissimulé par un masque de bouledogue. Sa suite est constituée de guerrier en armures de plates orange et marron, d’un style futuriste. Ils ont armés d’épée à 2 mains et certains ont d’extraordinaires lances feu. Un homme avec un masque de serpent l’accompagne aussi.

Adaz Promp « C’est un immense honneur pour moi d’être reçu par le plus puissant homme de Germanie. Mes intentions sont purement pacifistes, je viens juste amener un message de sympathie de la part de notre roi-empereur Huon. J’espère qu’une sincère amitié se développera entre nos deux peuples, et que des échanges commerciaux et culturels se multiplieront. »

Duc Hans :« Tout l’honneur est pour nous, comte Promp. Je suis heureux du message que vous apportez. Soyez certain que moi et ma cour ferons tout pour rendre votre séjour agréable. J’ai fait aménager des appartements pour vous et votre suite. Vous devez être fatigué de votre voyage, je vais vous faire amenez à votre suite et veillez à ce que l’on vous amènes des rafraîchissements. Nous lierons connaissance ce soir lors du banquet donné en votre honneur. »

Des serviteurs s’occupent des voyageurs tandis que la cour se disperse et se perd en conjectures.

Je m'adresse à Sfen, derrière moi: "Connais-tu cet homme? ce comte Adaz Promp?"

Puis me parle à moi-même :"Ce masque de Serpent...le même ordre que l'assassin de Bernstein..."

non !
méfie toi, ne te montre pas!
j'ssaye de glnaer des info auprès du francien que je connais à la cour

Je reste un moment près de vous puis m'éloigne un petit peu de vous au moment ou les délégations se séparent. Je me promène avec une charmante demoiselle blonde au bras, rien de bien notoire, une simple discussion avec ce qui semble être une de mes élèves.

Federico et Sfen, Vikior vous prend à part 2 minutes. Il vous fait part de l'inquiétude du duc concernant daz Promp. Vous allez devoir l'observer durant le banquet, mais sans intervenir.

o por observer
je cherche à) savoir si Guerome est au courant de ce qui se trame